Je secoue le thermomètre, 37.2, toujours. Mais ce n’est pas possible, il ne marche pas. Je me sens malade, je SUIS malade j’en suis sure. Ca ne peut pas juste être moi, ça n’est pas possible. Je les connaît ces symptômes…je les connais par cœur. Mal être, fatigue, larmes, tremblements, sueurs froides. Tout y est sauf la fièvre. Mon thermomètre est foutu c’est sur. Tout n’est pas dans ma tête, il ne faut pas que ça soit juste ma tête. Je voudrai être plus forte que ça. J’ai honte. Me rendre malade pour ça.
Ma maman me dit, c’est normal, tu vas reprendre les cours, tu vas te lever tôt, rentrer tard, travailler toute la journée, ne plus LE voir autant que ce dernier moi…
Oui. C’est vrai. Un moi plus que merveilleux s’achève. Et demain je me lève pour retrouver quoi ? La place vide et froide à coté de moi, mon bus, ma fac, ses gens que je connais à peine, ses cours interminables, ma solitude. Je vais de nouveau compter les heures et me renfermer sur moi.
J’en ai pas envie…mais vraiment pas envie. Déjà lundi je n’y suis pas allé…trop fatiguée, et puis aujourd’hui, je n’avais pas beaucoup dormit, et quand le matin je me suis effondrée dans ses bras, c’est lui qui m’a dit, je n’aime pas te voir comme ça, je vais rester aujourd’hui.
Mais demain…
Pas la forme, la mauvaise période arrive…Damien me fait chier. Ok il l’aime, ok elle veux pas sortir avec lui, ok il est malheureux…mais moi j’en peux plus de l’entendre dire ça a longueur de journée. Je suis pas un bon psy et puis il dit tellement de belle choses que j’aimerais qu’on pense pour moi. Bref il me saoul, me fait perdre le peu de moral que je peux réussir à avoir en ce moment. Le bac blanc approche, je devrais travailler. Mais la motivation n’est pas vraiment au rendez-vous
Plus je réécoute cette chanson ( Otherside des red hot), plus je me dit qu’il a du se passer un truc sur cette chanson, quelque chose d’agréable, une nostalgie, coincée dans ma mémoire. Quand je l’ai réécoutée aujourd’hui, un peu au hasard, je me suis mise à pleurer sans même savoir pourquoi, ni ce qui m’arrivait. Il y a des moments comme ça ou on ne sait pas pourquoi mais la mémoire réagie et s’emballe. Je ne sais pas d’où vient ce souvenir, une sensation agréable, et disparue, les larmes coulent. Et je ne sais même pas pourquoi. Tout est flou. Peut-être un rapport avec Eric ? Je n’en sais rien. Mais cette chanson me serre le cœur, elle m’inspire des regrets.
How long how long will I slide
Separate my side I don’t
I don’t believe it’s bad
Slit my throat
It’s all I ever
I heard your voice through a photograph
I thought it up it brought up the past
Once you know you can never go back
I’ve got to take it on the otherside
Centuries are what it meant to me
A cemetery where I marry the sea
Stranger things could never change my mind
I’ve got to take it on the otherside
Take it on the otherside
Take it on
Take it on
Pour my life into a paper cup
The ashtray’s full and I’m spillin’ my guts
She wants to know am I still a slut
I’ve got to take it on the otherside
Scarlet starlet and she’s in my bed
A candidate for my soul mate bled
Push the trigger and pull the thread
I’ve got to take it on the otherside
Take it on the otherside
Take it on
Take it on
How long how long will I slide
Separate my side I don’t
I don’t believe it’s bad
Slit my throat
It’s all I ever
Turn me on take me for a hard ride
Burn me out leave me on the otherside
I yell and tell it that
It’s not my friend
I tear it down I tear it down
And then it’s born again
How long I don’t believe it’s bad
Slit my throat
It’s all I ever
Otherside, Traduction
Combien de temps, combien de temps vais-je glisser
Détaché de chez moi, non
Je ne pense pas que ce soit mal
Coupe ma gorge
C'est tout ce que j'ai jamais
J'ai entendu ta voix sur une photographie
C'était dur mais ça a ramené le passé
Tu sais que tu ne peux jamais faire machine arrière
Je dois le prendre de l'autre côté
Les siècles sont ce qu'ils signifient pour moi
Un cimetière où j'épouse la mer
Les choses les plus étranges ne changerons jamais ma pensée
Je dois le prendre de l'autre côté
Le prendre de l'autre côté
Le prendre de l'autre
Le prendre de l'autre
Je verse ma vie dans une coupe en papier
Le cendrier est plein et je répand mes intestins
Elle veut savoir si je suis toujours un salop
Je dois le prendre de l'autre côté
Une starlette écarlate et elle est dans mon lit
Une candidate pour accompagner mon âme a saigné
Pousse la gâchette et tire le filament
Je dois le prendre de l'autre côté
Le prendre de l'autre côté
Le prendre de l'autre
Le prendre de l'autre
Allume moi et prends moi pour une chaude promenade
Met moi le feu et laisse moi de l'autre côté
J'hurle et dis le lui
Ce n'est pas mon ami
Je le regrette, je le regrette
Et ensuite il renait
Combien de temps je ne pense pas que ce soit mal
Coupe ma gorge
C'est tout ce que j'ai jamais
Les petits souvenirs de notre voyage en Allemagne
(Du 25/07/04 au 01/08/04)
-Tout d’abord merci a la carte d’identité de Céline (et vive la majorité)
- Les pattes supers collantes à la tomate
- L’eau qui refuse de bouillir
- Le strudel allemand
- Danke Jesus, le bourré bien sympathique qu’on a rencontré 3 fois dans la journée
- Le chili du 1er soir, très bon mais légèrement indigeste
- Le pina-colada fait chez Nora avec des bountys épluchés à la main
- Damien et Eric qui ont réussis à décrocher le panneau Achtung
- La vaisselle qu’on était obligé de faire dans la douche
- Nora qui a voulut laver ses sous-vêtements avec du liquide vaisselle (heureusement que j’étais là…)
- Les petits yeux fermés de Mo…
- Les petits trous que j’ai dans mon jean tout neuf depuis qu’on a fait un feu dans le jardin de Nora
- Le retour à 13 dans une voiture... merci à la pauvre maman…
- Le mec qui nous regardait de sa fenêtre de sa maison toute verte et rouge quand on était bourrés sur le banc
- Et celui qui a pris les photos et qui a fait semblant de partir avec l’appareil
- Quand on est tombé sur le tournage d’un film au milieu de Cologne
-Le jeu Worms qui n’a jamais voulut marcher
- Les bouteilles d’eau froide que l’on tentait de remplir sous la douche
- L’allemand qui était mort de rire en nous entendant raconter nos vies dans le train
- L’exposition d’art moderne à laquelle je n’ai rien compris
- Capuchino qui aime descendre dans tous les décolletés
- Le sucre qui veut pas fondre sur les pop-corn
- Quand les tramways s’arrêtent au feu rouge
- Quand je dois démêler les cheveux de Nora après que Céline est eu la bonne idée de lui dire de ne plus se les coiffer
- Nora qui mes une heure pour mettre et enlever ses chaussures
- Damien qui essaye désespérément d’ouvrir une boite de rondelles d’ananas avec un couteau suisse
- Le tas immonde de valises et de vêtement qu’il y avait au beau milieu du salon
- Le bikini de Ze
- Les bières au coca et à la limonade
- Nos deux Nora préférés qui ont faillis se faire bouffer par un gros serpent tout vert
- Moi qui me retrouvais légèrement à l’étroit dans mon lit le matin...
- Nora n’est pas une fan de l’organisation…
- Le petit Némo qu’on a eu du mal à trouver dans l’aquarium
- Les fourmis qui grouillaient partout…
- Nora et moi on ne s’approchera plus jamais d’une balançoire (et encore merci de ne pas m’avoir laisser y aller toute seule…)
- Quelques larmes versées sur un banc (tous des cons pas vrais Nora ?)
- Beaucoup versées à trois…
- Une bouteille de Malibu qu’on aurait pas du jeter (j’ai quand même le bouchon !!!)
-Cette même bouteille qui descend très, très vite…oups on en voit des étoiles
- La maman de Nora qui nous dit de ne pas boire trop de bière parce que ça fait grossir… (Et le Malibu ?)
- La douche qui donne soit de l’eau brûlante soit de l’eau gelée
- Nora qui se suicide avec son Yoshi
- Les restes du repas chinois qu’on a pas osé manger
- Quand Céline et moi on court dans les rues de Cologne en pleine nuit (je cours plus vite que toi !!!)
- Les nombreux gâteau qu’on a dévoré ce soir là (tu sais ceux que t’adore)
- La grue, les barreaux, la voiture de police, le guide touristique de Paris et la coccinelle ça te dit quelque chose Céline ?
- Les grecs allemands…
- Une partie d’abalone commencée et jamais finie (n’est ce pas Céline ?...)
- Les conseils de Céline que je vais finir par écouter
- Le tic-tac du réveil qui nous a tous rendus fous la 1ère nuit
- Les caméras dans les toilettes du bar (je ne les ai pas vu mais j’imagine que c’est pas agréable)
- Le désespoir de la pauvre maman de Nora quand elle arrive vers midi et que tout le monde dort encore…
- La bataille de coussins avec Mo et Ze
- La rondelle de citron après la tequ-paf
- The vache qui perd ses chaussures (heureusement que Nora est là…)
- 4 voitures dont un taxi… (C’est quand même mieux que de compter les moutons non ?)
- Quand on fait pipi complètement bourré sur un rond-point et que tout le monde peut voir nos fesses…
- Les flics en Allemagne sont tout verts, nous on a des schtroumpfs…
- Je ne sais toujours pas de quelle couleur sont mes poils de cul (je vous le dirai un jour)
- Et bien sure le NEINNNNNNNNNNNNNNNNN…
lundi 25 octobre 2004
Petit flash back en arriére...voilà avec quoi il m'a dit adieusalut ******, désolé pour ce qui va suivre...
Je passe une des périodes les plus dingues de mon existence, c'est pas
désagréable, c'est juste dur mais la satisfaction de le faire est d'autant plus
grande.
Seulement le temps me manque... trop de combats pour une si petite vie ...
j'aurai sans doute du réaliser plus tôt que notre relation n'était pas
compatible avec cette vie.
En attendant je souffres, tu souffres, je souffre que tu souffres et
réciproquement, ca me soule au milieu de tellement d'autres choses qui me
soules.
J'avance dans cette jungle de vie à coups de machette et cette relation est une
liane que j'avais peur de couper, car il était bon de s'y agripper...
Je suis désolé mais je ne peux plus rester avec toi, j'espère que tu le
comprendras et que tu l'accepteras.
Voila moi aussi j'ai tout lâché. Je me déteste de l'avoir fait, mais après tout
c'est sans doute le mieux. J'espère que tu surmonteras ca vite. Oublis-moi je
ne vaut vraiment pas toute cette peine.
Encore désolé
**** Voilà, je n’avais pas encore pu mettre ce message ici, c’est fait. Curieusement de le revoir là comme ça, j’ai envie de pleurer. C’est stupide, je suis sure que ça fait longtemps que lui il est passé à autre chose, après tout, il me l’a dit lui-même, il a autre chose à faire.
Jurer moi que je connais le moyen de m’en sortir et je m’en sortirais. Sinon je resterais malade, longtemps, très longtemps.
Je voudrais me retrouver, redevenir mon moi d’avant, d’avant toi. Tu ne peux même pas imaginer toutes les choses que tu as pu changer en moi…et toutes celles qui resterons à jamais gravés dans ma mémoire.
Tu n’en a peut-être rien à foutre mais tu a changé ma vie, tu as détruis des années de renfermement, tu a ouverte grandes les portes de mon cœur et tu y es entré. La seule chose que je te reproche c’est d’y avoir tout cassé.
Toutes mes illusions, tous mes rêves, toute la puissance de l’amour que je te portais…tout ça tu l’as balayé si facilement, ça me fait peur. Sans même t’en rendre compte tu m’as détruite.
Tout ça je l'ai écrit il y a bien longtemps...mais je n'aurait pas pu le mettre ici avant.
Vendredi 31 janvier 2004
La soirée fut…spécial…Le revoir a été dur, mais pas dans le sens ou je l’avais imaginé. Ce n’est pas le fait de le revoir lui qui a été dur, c’est son attitude qui m’a tuée.
Je suis arrivée dans une panique monstre, il est la première personne que j’ai vu. Et la dernière a qui j’ai dis bonjour. Je ne voulais pas, je retardais ce moment là le plus possible. Il a finalement été devant moi, j’ai levé les yeux, pas le choix. Il avait un grand sourire, mais plus le même non, jamais le même. Plus ce chaud sourire d’avant qui me réchauffait si bien. Juste un sourire où se mêlait trac, nostalgie, bonheur, un peu quand même, un sourire d’excuse presque. Mais un sourire quand même. Bizarrement ce sourire là je ne l’ai pas spécialement aimé, après tout ce que j’avais souffert, l’envie de le frapper m’a effleurer mais je ne pouvais pas. Alors je ne sais plus trop ce que j’ai fais, un sourire aussi je crois, sauf que le mien ne se voulais pas sincère, plutôt absent, voir indifférent. Je n’ai pas regardé sa réaction, j’ai détourné la tête et je suis partie autre part.
Je l’ai évité pendant toute la soirée. Au début c’était pas trop mal, puis petit à petit, au fur et à mesure des verres que je buvais, je suis tombée dans un trou noir, une sorte de torpeur. Je voulais rentrer chez moi, plus de car. Et bien tan pis je serais rentré à pieds si je n’avait pas de si bonnes amies qui veillaient sur moi.
On est sortit dehors, j’ai pleuré, beaucoup. Une amie à moi qui n’appréciait pas tellement la fête m’a proposé d’appeler sa mère pour qu’elle nous emmène chez moi. J’ai dit OK. Mais avant il fallais que je prévienne les autres. Et c’est là qu’on a parlé, je ne le connaissait pas avant, plutôt sympas comme mec, je lui est parlé, parlé, j’ai tout déversé, tout ce qui me pesait depuis longtemps. IL m’a raconté sa vie à lui, un peu, ses expériences. Il m’a dit qu’il ne fallait pas que je parte, pas comme ça. Qu’il fallait que je sois forte et que je reste. C’est un nouvel ami que je vais gardé.
J’ai accepté de rester, au moins jusqu’à minuit. Et je suis restée. Je ne peu pas dire que je me suis spécialement amusée mais je suis restée, je ne lui est pas souhaité la bonne année. En fait il m’a quasiment ignoré toute la soirée. Je crois que c’était bien ça le plus dure, le voir là, sans pouvoir le toucher, comme un mirage, un rêve. Je voyais les autres lui parler, encore toutes ces filles l’entourer. Rien, pour lui je ne suis plus rien.
Il n’a pas retrouvée une autre copine pour l’instant, tan mieux je n’aurais pas supporté de la voir.
Je suis partie avec une copine vers 1h30 du matin, moralement épuisée mais plutôt sereine. J’ai vu, j’ai compris, j’ai accepté. Je suis libre.
Mercredi 3 novembre 2004
Au moment où j’écris je suis en pleine phase de désintoxication, bref, j’essaye d’oublier. Il a répondu à mon message, à peine une heure ou deux après que je l’ai écrit. Il a répondu pour me dire que c’était finit. Et maintenant quand je regarde tout ce que j’ai pu écrire ces derniers mois ça fait tout drôle de se dire que c’est finit. Je ne parlerais plus de lui, il va sans doute y avoir un grand vide dans ma vie pour un moment plus ou moins long je sais pas encore.
La réponse m’a fait très mal, mais ce n’était qu’un début…l’absence que l’on ressent les jours qui suivent, les souvenirs qui affluent de partout, les photos qui traînent encore sur le bureau. Autant de petits détails qui font mal, très mal. Pendant une semaine je peux affirmer avoir été un fantôme. Ni plus ni moins. J’ai maigri, j’ai pleuré. Le plus difficile étant d’accepter. Quand on vous annonce ça comme ça, sans vous laisser le choix, ça fait toujours très mal.
J’ai cru lire entre les lignes qu’il avait compris que je souffrais de son absence, et qu’il ne pouvait pas le supporter, c’est la raison de sa décision. C’est vrai, certes, mais ce n’est pas une raison. Chaque couple quand il est séparé souffre, ça n’est pas pour autant qu’ils arrêtent de s’aimer. Il dit aussi qu’il a du travail, qu’il manque de temps. Je le comprends, ça m’étonne moi-même mais je le comprends. Je n’ai pas voulu m’accrocher, alors je lui ai renvoyé un mail ce matin, pour lui dire que je le laisse partir. Curieusement ça m’a fait moins mal que prévu, au contraire je me suis sentie soulagé de l’avoir envoyé. Il faut dire que la veille j’ai complètement craqué…mais alors complètement…écroulée en larmes sur mon lit, sans pouvoir arrêté de pleurer, tout est partis, je crois que pour la première foi depuis le fameux mail j’ai vraiment tout laisser tomber.
Ca fait du bien, beaucoup de bien.
En une semaine j’ai redécouvres la puissance de l’amitié, même si elle n’est d’aucune utilité pour le cœur, je pense que moi seule peut arranger les chose, elle m’a au moins aider à penser à autre chose pendant un certain temps.
C'est parfois amusant de relire ce que l'on a écrit quelques semaines auparavant...alors voilà j'ai décidé de publier quelques extraits de mon journal, de préférence qui se suivent à peu prés que vous soyez pas trop perdus...Voici le premier...
Samedi 23 octobre 2004
J’ai tellement de choses à dire, tellement de choses qui me pèsent sur le cœur que ça va pas être facile de tout lâcher mais je vais essayé d’en sortir le maximum…Je ne sais pas à quoi joue E , ou si c’est moi qui me fait des films, mais si ça continu il va finir par le faire tout seul.
Je l’ai encore croisé sur msn tout à l’heure, j’avais du lutter avec ce pc de merde pendant des heures, je suis malade et c’est la mauvaise période, mais j’ai finalement réussie à aller sur msn…pour voir quoi ? Mossieu est là mais il ne vient pas me voir, au bout de 10 min j’y vais donc…il répond immédiatement, preuve qu’il était pourtant bien là (si je le fait chier il peut le dire tout de suite…) Mais je me dit, bon, j’ai quand même réussit à lui parler…3 mots…le temps qu’il me répète qu’il a plein de boulot à faire (j’en ai plus que mare de cette vieille excuse) je lui répond que moi aussi et…plus rien, il ne dit PLUS RIEN…je crois qu’a ce moment là, après avoir endurer tout et n’importe quoi pour pouvoir lui parler, je l’aurait eu devant moi je l’aurait tué. Puisqu’il ne trouvait plus rien à me dire, même pas un qu’est ce que tu fait pendant les vacances et encore moins un on se voit ? Bref dégoûtée, je ferme la session et donc en gros je lui raccroche au nez…quoi que si il avait plus rien à me dire…bref, je ne suis pas du tout de bonne humeur. Ensuite je me reconnecte, et voie qu’il est toujours connecté. Je fais donc un effort surhumain pour essayé de nouveau de lui parler…sans résultat. Bon, après tout il est peut-être pas là, partit dans une autre pièce, donc j’attend…jusqu'au moment ou il se déconnecte, en voyant donc très bien mon message, en voyant également que j’étais connecté et en m’ignorant donc parfaitement.
Je ne sais et n’est aucun moyen de savoir si tout cela n’est qu’un fâcheux concours de circonstances ou pas mais une chose est claire, demain je me connecte très tôt, j’attend qu’il en fasse de même et si il ne vient pas me voir je l’agresse…merde quoi ça fait 3 semaines qu’ont s’est pas vu (mais bon lui y doit pas les compter…) et il a rien à me dire, il…bref je vais m’arrêté là avant d’écrire des choses que je pourrais regretté plus tard.
Je l’aime mais si c’est pour souffrir continuellement ainsi pendant toute une année et après encore, je ne le supporterai pas…et dans ce cas je ne sais même pas ce qui me ferais le plus mal, me séparer de lui ou rester avec…